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DAVAINE Jean Pascal Les Emailleurs Rue François Desmedt, 162 1150 Woluwé St Pierre 0494/42.15.56 jdavaine@live.be www.emauxsurcuivre.be Emaux sur cuivre

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Le travail de l’émail sur métal est plus que millénaire, et si le principe semble simple, la technique demande du travail, de la minutie, de la patience et de la passion.

Notre atelier, Les Emailleurs, est né d’une envie de créer et de réaliser de belles choses à deux.

Tout en perpétuant les techniques traditionnelles, nous apportons de la modernité en créant de nouvelles formes et en expérimentant de nouvelles techniques. Travailler à deux, mélanger nos approches respectives, nous permet de repousser nos limites tant au niveau de l’imagination que de la réalisation. Le résultat de cette fusion est que bon nombre de nos œuvres sont imaginées, créées et réalisées conjointement.

Elèves de Christophe Mirande, plasticien émailleur à Montmartre, nous avons perfectionné notre connaissance des techniques traditionnelles et découvert de nouvelles techniques d’émaillage.

Jouer avec l’émail et ses couleurs est devenu une véritable passion qui continue à grandir chaque jour.

Concert le vendredi 6 décembre à 20h
WATA WATA

Chanson et musique des Balkans et d’ailleurs
Une dérive musicale, sans carte ni boussole,
de Bruxelles jusqu’aux rives de l’Orient

Wata Wata… c’est quoi !?
Un virus ravageur venu d’ex-URSS ? Une boisson pétillante coupée au raki et à la țuică ? Un pas de danse asymétrique qui n’existe que dans nos têtes ? Un navire légendaire échoué au large de la Vieille Europe ? Wata Wata c’est un peu tout ça à la fois… et c’est aussi sept musiciens bruxellois au service d’une musique festive et émouvante, bariolée et enivrante, qui nous parle de l’humanité la plus universelle dans les langues les plus singulières. En grec, en romanès, en yiddish ou en arabe, la plainte et les pleurs finissent souvent en larges éclats de rire, la détresse se fait promesse puis caresse. Une déclaration d’amour et de révolte, souffles et frottements, cordes et lames, sang et miel.

 Orphise Labarbe : Vocal
Anaïs Lambert : Violin
Emmanuel Haessig : Clarinet
Romain Karsenty : Accordion
Gaspard Vanardois : Guitar, Ud
Marc Renders : Doublebasse
Romain Duyckaerts : Drums

https://soundcloud.com/wata-wata-4

Pour tous les concerts : Ouverture des portes à 19h et concert à 20h précises
Les places réservées non retirées à 19.50 h seront remises en vente.
Entrées à 8 €. (7 € pour les détenteurs du Pass Fidélité)
Il est prudent de réserver au 083 690 790

Possibilité d’un repas avant le concert – Arrivée entre 1830 et 18h45
Découverte de la Tunisie
Prix : 17 euros (apéritif et zakouskis, repas et dessert)
Réservation obligatoire : 083/690790

Concert le vendredi 11 octobre
LUCIE-VALENTINE

BIO

En 2013, alors que Valentine mène une vie «plan B», son quotidien parisien la fait suffoquer. La thérapie suit le burn out, la dépression, l’urgence. Puis vient la libération du voyage. Mais l’errance en Asie est vite interrompue. Le décès de son frère aîné la ramène brutalement en Belgique, dans une réalité inacceptable. L’auteure, compositeure et interprète trouve une échappatoire dans la musique. Repliée chez sa grand-mère, elle compose ses premiers
titres derrière son piano, guidée par le souvenir de son frère Olivier : «La Vie est Belle» et «Sister».
Lors d’un voyage initiatique au Bénin, en 2016, Valentine est baptisée Lady Valentine par le rappeur local Saint-Maurice, avec qui elle chante sur le titre
«Gogo Gnité».
Trois ans plus tard, parait sous ce nom de scène «La Vie est Belle», un premier opus en hommage à son frère.
Et comme pour tourner une page douloureuse de son passé, Lady Valentine devient Lucie-Valentine, un nom composé de lumière et d’amour qu’elle choisit de tout son être, après une longue quête de sens et de vérité.
Alors qu’elle prépare son prochain EP, l’artiste jouera dans ce souffle nouveau au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, en première partie de Diane Tell, le 18 octobre 2019. C’est le début d’une nouvelle histoire.

PROJET

Une voix dans tous ses éclats. Des mots simples en français, des questions, des combats. Une corde sensible, une part d’elle-même, du chaos à la lumière, une urgence extrême. Les couleurs pop d’une douce tempête, des humeurs multi-facettes.
Un brin de folie, un grain d’humour, l’embrun d’un cri dans un écrin d’amour.
Lucie-Valentine exprime ses tourments dans un univers malgré tout coloré et chaleureux. Tel un cri d’urgence venu des tripes d’une jeune femme qui se bat
pour exister et trouver sa place après les épreuves que la vie lui a imposées.
De nombreuses rencontres artistiques lui permettent de développer ses mélodies composées derrière son piano.

Ses chansons sous forme d’histoires, retravaillées avec l’auteur français William Larqué, sont posées sur des sonorités électro-pop, amenées tour à tour par les producteurs belges Max Montagne, Konoba et Nico D’Avell. Elles sont jouées en concert avec Gaëtan Trésignies (guitare), François Cappelle (basse) et Hadrien Pierson (batterie).

PARCOURS

Valentine s’initie au solfège et au piano dès l’âge de 9 ans à l’académie de La Hulpe.
À 13 ans, elle termine dans les neuf finalistes de l’émission télévisée Pour la Gloire (RTBF), animée par Carlos Vaquera. Quatre ans plus
tard, elle intègre son premier groupe pop-rock Wideyed, alors qu’elle étudie Économie et Gestion à l’Université de Louvain-La-Neuve et vit dans une collocation étudiante qui organise des scènes ouvertes, Les Lundis de la guitare.
Juste avant son master en communication culturelle, elle s’octroie une année à l’école JazzBxl en piano, où elle rencontre le pianiste Maxime Siroul avec qui elle interprète les grands standards du jazz, dans les cafés-concerts et autres événements privés.
Elle décroche ensuite un poste de journaliste culturelle à Paris, pour les magazines Openmag et Modzik. Articles et interviews lui permettent de rencontrer des artistes tels qu’Angus et Julia Stone, Shirley Manson, Charlie Winston, les Ting Tings, Hyphen Hyphen, An Pierlé, Da Silva, … Valentine chante dans les métros, scènes ouvertes et théâtre parisiens, dans un duo guitare-voix appelé Avenue, orienté pop anglaise.
En juillet 2015, après un voyage seule en Asie durant cinq mois, elle décide de reprendre les cours de musique et de se lancer en solo, derrière son piano. Du Labo Chansons d’Astaffort à l’AKDT, Valentine explore ses talents d’auteure-compositeure-interprète et travaille la scène, avec enthousiasme et passion.
C’est lors d’un voyage pour un projet musical au Bénin, fin 2016, qu’elle trouve l’inspiration qui construira son style et son identité artistique.

www.lucievalentine.com

Musique :

Pour tous les concerts : Ouverture des portes à 19h et concert à 20h précises
Les places réservées non retirées à 19.50 h seront remises en vente.
Entrées à 8 €. (7 € pour les détenteurs du Pass Fidélité)
Il est prudent de réserver au 083 690 790

Possibilité d’un repas avant le concert – Arrivée entre 1830 et 18h45
Prix : 17 euros (apéritif et zakouskis, repas et dessert)
Pour ce mois d’octobre, menu du Sénégal
Réservation obligatoire : 083/690790

Initiation au tissage avec Claudine Frisque et Véronique Demeffe, artisanes textile et membres du Collectif des artisans de La Spirale

Les WE du 20 et 21 avril 2024 et 27 et 28 avril de 9 à 16h

Découverte des différentes étapes de préparation du métier à tisser;
Apprentissage du tissage, des armures de base, lecture et réalisation de dessin technique

Prix : 320 euros

Infos et réservations : 083/690790 – contact@laspirale.be

4ème grand marché de potiers à Nismes – Parc communal

Dimanche 9 juillet  de 10 à 18h – Entrée gratuite

Au sud de l’Entre-Sambre-et-Meuse, au centre géographique de l’Europe des 15,  aux confins de la Calestienne et de l’Ardenne, avec ses paysages verdoyants et enchanteurs, Nismes – dans l’entité de Viroinval – accueillera son troisième marché de potiers.  Notre volonté est de promouvoir l’art ancestral de la poterie/céramique et de faire rayonner notre marché au-delà des frontières et d’accueillir un public nombreux et ciblé

+ de 50 artisans céramistes vous font découvrir leur passion pour la terre
Ateliers « terre » gratuits pour les enfants
Démonstrations
Concours
Tombola des artisans
Petite restauration et bar

Infos : 0493/527.805
www.marchedepotiers.be

Organisation de l’asbl Elémenterre en partenariat avec Le Centre des Métiers d’Art La Spirale

Saison 2024

Le Centre des Métiers d’Art «La Spirale » présente, de manière permanente, le travail d’une cinquantaine d’artistes et d’artisans issus de toute la Wallonie.

Que ce soient les céramistes, maîtres verriers, sculpteurs, peintres, bijoutiers, tourneurs sur bois, ébénistes, dinandiers, restaurateurs, … tous proposent un travail de grande qualité qui mérite le détour.

Tous les deuxièmes et quatrièmes dimanches du mois de 11h à 17h (d’avril à novembre), certains d’entre eux seront en démonstration devant le public sur le site du Centre des Métiers d’Art. Les salles d’exposition sont ouvertes notamment le dimanche de 10 à 18h (voir onglet Centre des Métiers d’Art – exposition)
N’hésitez pas à consulter l’agenda du mois pour connaître le programme des techniques artisanales à découvrir.

Dimanche 24 novembre – Venez découvrir
-Bihin Bernadette – vitrail et verre filé
-Cwiek Bernard – Création d’hôtels à insectes
-Decamps Myriam – Art du papier
-Made in Koekelberg – Récup’art

Ouverture générale du Centre
du mercredi au vendredi de 13h à 17h
Le samedi, le dimanche et jour férié de 10h à 12h et de 13h à 18h

En juillet et en août, 7 jours sur 7, du lundi au samedi de 13h à 18h
le dimanche et jour férié de 10h à 12h et de 13h à 18h

Prix d’entrée
4 euros (au-dessus de 16 ans) – 12 euros le pass fidélité pour un an

Durée de la visite libre
1 à 1h30 de visite

Pour les groupes
Visite pour groupes scolaires, seniors, … avec ou sans animation, sur demande

Pour rejoindre le site
En train : ligne Namur-Luxembourg (gare à 300 m)
en voiture : E411 sortie Spontin ou N4 sortie Natoye

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THELEN Viviane Céramique – SculptureCh. Freddy Terwagne, 47 4480 Hermalle sous Huy 0475/28.16.68 vivianethelen@gmail.com     NEALE Rémy Ebénisterie Ch. Freddy Terwagne, 47 4480 Hermalle sous Huy

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Thelen Viviane

Artiste de la matière, je me fais complice de ses caprices
Je travaille le bois et la pierre ; c’est l’argile qui me permet de m’exprimer avec le plus de spontanéité et de sincérité. J’aime le contraste entre l’argile et les émaux, le mat et le brillant, le rugueux et le lisse.
Sur la structure de base viennent se poser des éléments inspirés de la nature : fleurs, arbres, feuilles, oiseaux, moules, coraux, coquillages, poissons, … En fonction de l’heure et du lieu, ils accrochent la lumière de différentes manières. Le jeu des ombres et de la lumière ou des couleurs me plaît.

Artiste de la matière, je me fais complice de ses caprices, je me laisse guider par mon intuition. Je fais volontiers des recherches sur les émaux aux cendres. La spatule du sculpteur est mon ami de toujours.
Mes pièces sont débridées et exubérantes, libérées de toute contrainte. Elles expriment mon goût de la diversité. Largement féminines, elles sont imprégnées de douceur, d’amour, de chaleur, de gaieté.
Ou alors elles traduisent la tristesse, le désespoir, la révolte qui habitent l’humanité. Le passage d’une émotion à l’autre est subtil et parfois rapide.
Toutes mes créations sont réalisées à partir de matériaux et produits respectueux de l’environnement.

Neale Rémy

GUILLIAMS Luc R. Morimont, 39A 5330 Sart Bernard 081/58.38.06 0496/28.40.79 guilliamsceram@hotmail.com Céramique

Né en 1957 à Montegnée, Luc Guilliams est potier céramiste à temps plein depuis plus de 35 ans.
Il crée des grès engobés, émaillés et cuits en mono cuisson à 1260°. Il participe à de nombreux marchés de potiers nationaux et internationaux (Allemagne, France, Pays-Bas, …).

Il se définit, comme un potier amoureux du travail au tour qu’il affectionne particulièrement.
Ses céramiques d’usage, objets à vivre, s’inscrivent dans la tradition spontanée de l’art populaire…
Son talent est de les rendre uniques.
Manipulant les engobes d’un pinceau expert, il attache à chaque objet une marque, une empreinte toute personnelle, qui s’imprime dans l’épaisseur du trait et fige la rapidité du geste dans la terre cuite. On est bien loin de la grande série et de l’industriel.
Avec Luc Guilliams, chaque objet hérite d’un poids symbolique unique, en osmose avec sa simplicité et son usage.
L’engobe n’est pas simplement couché sur la terre. L’engobe y est propulsé d’un geste sûr après un court temps de concentration. C’est à ce moment que l’objet devient unique, qu’il prend un nom, un code personnel.

Là où l’objet du quotidien dévoile son âme…